Afrique Opinion

LE GRAND ÉDITORIALISTE SOULEY ONOHIOLO SORT DU COMA ET REPREND LA PAROLE

Remerciements… Devoir de Conscience…

De la part de Souley ONOHIOLO

Bonjour chers tous. Il y a bien longtemps que j’ai été absent des médias, des plateaux de télévision et de radio, les espaces de communication à cause d’une grave maladie.

Hbles amis de Facebook, chers confrères, collègues du quotidien Le Messager. Communicants, amis et connaissances… Vous ces personnes qui ont le coeur grand comme ça. Vous qui m’avez pris en sympathie et en estime. Vous qui sans me connaître physiquement, avez écrasé une larme de douleur, de bonté, de générosité, lorsque, apprenant que j’étais à l’article de la mort, hospitalisé à l’hôpital central de Yaounde, tenaillé par une insoutenable maladie.

D’entrée de jeu, toute ma gratitude et mes remerciements sincères, au staff médical de cette institution sanitaire dirigée par le professeur Pierre Joseph Fouda. Ma reconnaissance aux infirmières et les medecins du Pavillon spécial Haut standing. Comment ignorer ou fermer les yeux sur le rôle déterminant du médecin chirurgien, Owon Abessolo Philippe ; celui-la que j’appelle mon « Sauveur »; car il a réussi à défier tous les risques cliniques et déjoué les mauvais pronostics. Les mêmes remerciements sont adressés à son collègue médecin chirurgien, Dr Dogmo Mayopa qui a su prendre le relai et bravé le challenge.

Je voudrais saluer et remercier le TGV de l’info, Paul Tchouta, le premier à sonner l’alerte dans les réseaux sociaux, alors que je venais de passer deux semaines, presque dans le coma. La polémique que sa publication à failli créer, était un non sens. Le TGV de l’info avait raison. Paul Tchouta avait vu juste. Je me sentais au plus mal en cette moitié du mois de janvier 2019. Même le diagnostic des médecins, n’était guère rassurant. Mes amitiés inestimables et renouvelées au Vieux briscard de J. Rémy Ngono. Ce vieil ami de longue date a,, avec promptitude relayé l’alerte sur ma maladie à l’international. Mes remerciements aux confrères et communicants pour qui je voue une grande admiration, au vu de l’immense travail de communication et d’appel à la mobilisation. La liste est longue. Mais je m’en voudrais de ne pas exprimer ma reconnaissance éternelle à la grande Royale, collègue et téméraire femme de coeur Marie Noëlle Guichi; l’inamovible et infatigable Jean Paul Tchomdou; lui dont la main généreuse et les retombées du coup de coeur, m’ont été secourables et d’un grand soulagement. Comment pourrais-je oublier le vaillant et sympathique ami Ernest Obama. En plus d’être la courroie de transmission et l’envoyé spécial du Pdg Jean Pierre Amougou Belinga à mon chevet; il est venu régulièrement et assidûment s’enquérir de l’évolution de mon état de santé. Le Directeur de Vision 4Tv a su également donner l’information vraie aux antennes de Vision 4Tv et dans certains groupes Whatsapp.

Chers tous, j’ai quitté il y a quelques jours, l’hôpital central de Yaounde après y avoir passé trois mois et demi d’hospitalisation. Les médecins et autres spécialistes m’ont annoncé que le pire était passé ; ma santé était sous contrôle.

Le devoir de Conscience me suggère, m’incite à rédiger cette kyrielle de remerciements pour traduire également, toute ma gratitude, ma reconnaissance â cette grande mobilisation de tous que je ne cesse d’évoquer. Sans elle: Qui sait… Qui sait…

Le Seigneur, Allah ak bar, le très Haut et le Tout puissant de ma foi guérit c’est vrai. INCONTESTABLE. Toutefois, il faut faire avec la constellation des spécialistes de la santé, les collègues, les confrères de tous bords, l’ensemble des communicants , les divers donateurs, bienfaiteurs de par le monde entier. Ils sont capitale et de grande portée. Un appui par ici; une contribution matérielle et financière par là, ce sont des antidotes à la maladie. Il y en a qui, par des prières exprimées; ont demandé ma guérison au Seigneur. Toutes ces prières, qui ont mis le Seigneur au centre de ma guérison, sont la principale leçon que je tire de ma maladie.

Chers tous. Je suis l’exemple vivant, le prototype dun malade qui a été soigné grâce à la bonté et la solidarité de tous les citoyens du monde. Nonobstant le fait que certaines personnes disent ( à tort certainement) que je suis très critique contre le régime du Renouveau du président Paul Biya, il y’a des membres du gouvernement, des directeurs généraux et hauts cadres de l’administration centrale, qui m’ont pris en sympathie pendant ma maladie. Dieu est très puissant. Rien n’est au dessus de Dieu. Le savoir, il faut le savoir, nous rend la vie et notre passage sur cette terre des hommes, SUPPORTABLES. Si le monde entier pouvait se mobiliser, faire bénéficier à chacun de nous, la mobilisation et la solidarité auxquelles j’ai été éligible, les relations humaines seraient plus confortables, conviviales et vivables.

Chers tous. Le chapelet des remerciements, me suggère de célébrer sans polémique quelques hommes de grand coeur: le sémillant et intrépide Pasteur Emmanuel Noél Bissai; le maire Emmanuel Mukam, le Pdg Simon Ndoungla, le plus que frère Paul Yakana, Cyrille Kemayou, les grands amis de toujours: Jean Sylvain Mvondo, Dr Fouda Onambelé Augustin Mbazoa. Qu’ils en soient particulièrement remerciés. En toute humilité, sans malice, ni courtisanerie, je voudrais élever le soutien déterminant. Voire exceptionnel du Pdg Jean Pierre Amougou Belinga. Le magnat de la presse camerounaise est intervenu comme un miracle par lequel, le Seigneur à confié la clef de la multitude des appuis en ma faveur. Le Pdg du groupe l’Anecdote a mis les bouchées doubles durant mes trois mois d’hospitalisation. En plus de m’aider à payer régulièrement les médicaments, Jean Pierre Amougou Belinga m’a donné le privilège d’être logé pendant 72 jours dans le pavillon Spécial haut standing. Une action de portée INOUBLIABLE.

Chers tous,
Je reste encore très affaibli, je ne suis pas totalement sorti de la zone trouble, je n’ai pas repris toutes mes formes; je dois continuer avec les soins en externe à l’hôpital central de Yaounde. Mais ça va de mieux en mieux.
Par la grâce du Seigneur, je crois dur comme fer, que bientôt je vais entamer, une période de convalescence saine, sereine et méritée.

Magnifique et agréable week-end à tous.
Soyons bénis.
Souley Onohiolo

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