RICHARD BONA PREND POSITION SUR LA CANDIDATURE DE SAMUEL ETO’O À LA FECAFOOT
Dans une sortie sur sa page Facebook, ce mercredi 29 septembre 2021, le bassiste camerounais Richard Bona, joue des notes sur le football camerounais, notamment en ce qui est des dissonances sur la candidature pour la présidence à la Fédération camerounaise de football (Fecafoot). » Tant qu’il y a Magouilles. Le vrai problème de la Fecafoot ressemble drôlement à celui de l’Etat du Cameroun… La corruption et la mauvaise gestion sont les raisons qui clouent au sol le développement du football Camerounais… « , déclare Richard Bona.
Très critique envers le régime Biya qui ne lui a pas permis d’aller à l’enterrement de sa mère , l’auteur compositeur du célèbre single » Allô Fokou » surfe sur la candidature de Samuel Eto’o et estime pour sa part qu’il s’agit d’un bon profil pour le poste de président de la Fédération camerounaise de football.
» La Solution est la “TRANSPARENCE”… Ce mot qui dérange tant. Si j’avais un choix entre les 2, il porterai sur Samuel. Pour deux raisons très simples : Samuel n’a pas faim, l’autre a déjà prouvé son incapacité « , explique Richard Bona. Ne quittez pas la piste, ça vient!
Seule objection à la candidature de Samuel Eto’o d’après Richard Bona, la nationalité espagnole du joueur d’origine camerounaise et ancien capitaine des Lions Indomptables .
« Maintenant arrive la loi. Dans tout son sens strict, la loi doit toujours s’imposer. Si tu demandes le visa pour aller au Cameroun, Ehhh bien selon les textes de la Fécafoot, Tu es inéligible à cette élection”. Point. Encore une fois la transparence. N’ayez pas peur d’elle. Richard Bona #incorruptible « , tranche Richard Bona.
En effet, dans sa publication, Richard Bona joint l’extrait d’une interview de Samuel Eto’o à Jeune Afrique. L’ancien capitaine des Lions Indomptables y déclare : » Un grand musicien camerounais, Richard Bona, déclare qu’on nous accorde des passe-droits. C’est faux. J’ai beau été ancien capitaine des Lions Indomptables et détenir une double nationalité, mais j’ai toujours dû demander le visa pour entrer sur le territoire camerounais « .
